Marc Assous nous parle du salon international du CBD première édition !

Mise à jour Octobre 2022 ... Et si ce cher Marc était le nouvel escrot du CBD ?

Après un salon du mois d’octobre annulé, notre téléphone sonne à de nombreuses reprises … Nous ne savons pas où est ce cher Marc Assous …. Aucune communication n’a été faite. Nous sommes désolés pour les personnes qui se sont déplacés de manière inutile.

De notre coté, nous n’échangeons plus avec ce personnage depuis le salon de Lyon du printemps 2022.

Si vous avez de ses nouvelles, ca nous intéresse !

Il y a quelques mois, nous étions tout excités à l’idée de vous communiquer notre partenariat avec le tout premier salon officiel international du CBD. Depuis, nous avons eu la chance de pouvoir échanger avec Marc Assous, qui n’est autre que l’organisateur de « THE » évènement. Aujourd’hui, nous revenons donc à la charge avec quelques détails croustillants de plus !

Interview avec Marc Assous, celui qui organise le premier Salon international du CBD

Le Salon du CBD se tiendra à Paris, Lyon et Marseille en 2022… Il reste donc plusieurs mois à patienter ! En attendant, nous avons voulu en savoir plus. Et qui de mieux placé que son propre organisateur pour en parler ? Ni une, ni deux, nous prenons contact avec Marc Assous qui a eu la gentillesse de bien vouloir nous accorder une interview.

Marc Assous, dites-nous : qui êtes-vous ?

Je suis … Marc Assous ! (Rires). J’ai 57 ans, je suis le papa (et la maman !) de quatre enfants.

J’ai grandi dans une famille modeste, faire des études n’était pas une option. Je n’ai même pas le bac ! … Enfin, en réalité, je considère que je l’ai eu trois fois, lorsque mes trois ainés l’ont eu ! La petite dernière a eu son brevet, alors si on fait les comptes, j’ai 3 baccalauréats et 1 brevet. Pas mal non ? (Rires). Les plus grands étudient à l’université, et je suis de près leur parcours … Du coup, c’est peu comme si j’avais fait de longues études. À travers eux, j’ai un peu plus de 25 ans cumulés sur les bancs de la fac… Ça en fait des doctorats ! (Rires)

En vrai, je travaille depuis que j’ai l’âge de 20 ans. J’ai rapidement compris qu’il allait falloir bosser dur pour m’en sortir. Et je n’ai jamais rien lâché, j’ai toujours été droit devant moi, peu importe les critiques, peu importe les obstacles, et les difficultés.

Avec les années j’ai compris que je pouvais absolument tout faire, du moment que j’étais disposé à tout donner. Les études, les connaissances, ce n’est pas indispensable. Ce qu’il faut, c’est avoir la niaque, croire en soi et savoir se mettre en avant.

Je suis autodidacte et c’est une force, je crois !

C’est grâce à cette philosophie que j’ai réussi tous mes projets et que j’en suis là où j’en suis aujourd’hui. Aussi parce que je suis un éternel philanthrope. Je mets l’humain au centre de mes intérêts. J’agis avec le cœur, et je suis convaincu que c’est la meilleure des motivations.

Quel est votre parcours, depuis combien de temps organisez-vous des salons ?

Avant d’organiser des évènements, je suis d’abord tombé dans la marmite des médias. J’ai commencé avec la presse. A cette époque, il y avait très peu d’informations autour du virus du Sida, et très peu de moyens pour aider les malades à se soigner. Ça me révoltait, j’avais envie de faire quelque chose pour eux. Alors j’ai lancé ma propre gazette, sur le thème du Sida, que je faisais distribuer par les sans-abris, dans le métro. Cela
leur permettait de pouvoir gagner un peu de sous pour pouvoir se louer une petite chambre
avec une douche/toilettes et de gagner un peu de dignité.

Après ça, j’ai créé une station de radio à Paris. Elle s’appelait Voltage FM. Nos revenus venaient de la publicité, mais faire la promotion de grandes enseignes ne rapportait pas énormément pour une petite station. C’est là que j’ai eu l’idée de me concentrer sur les petits commerces. Pour eux, c’était un vrai coup de pouce, et aucune autre radio ne leur proposait un espace publicitaire. Il y avait un marché à creuser !

De fil en aiguille j’ai participé au développement d’une quarantaine de radios … C’est comme ça que j’ai commencé à avoir les bons contacts et à me faire un nom.

Et puis finalement, un beau jour je me suis lancé dans l’organisation de salons. C’était il y a plus de 20 ans !

Le salon du Golf, dont la première édition s’est tenue en 2007, a été l’une de mes plus belles créations … Et ce n’était pas gagné d’avance !

Le Salon de l’Internat a aussi été un  beau projet, car il me tenait particulièrement à cœur. Il a été racheté par Studyrama.

Et puis ma grande fierté, le E-Cig Show, 1 er salon international de la cigarette électronique que j’ai réalisé à la porte de Versailles, sur plus de 6000 m². 

Un salon autour du CBD… Comment avez-vous eu cette idée ?

Je consomme moi-même du CBD pour calmer mon anxiété et pour mieux dormir. Et je sais ô combien c’est le parcours du combattant pour les entrepreneurs de communiquer au sujet de ces types de produits. Je sais aussi que beaucoup de consommateurs ne sont pas correctement informés

C’est comme ça que petit à petit, l’envie d’organiser un salon autour du CBD est née.

En 2019, j’étais prêt à me mettre en marche, mais lorsque le Covid est apparu, j’ai compris que ça allait être compliqué, pour les exposants comme pour les visiteurs. Alors j’ai décidé de prendre mon mal en patience et d’attendre que l’État nous donne le feu vert.

Je ne voulais pas commercialiser en réclamant des acomptes à mes exposants et leur bloquer leur trésorerie alors que personne ne savait à quelle date le travail allait reprendre !

Les exposants exploitant le métier de la cigarette électronique sont aussi pour une grande partie d’entre eux des exposants potentiels dans le CBD, ils connaissaient les efforts que j’allais déployer pour leurs permettre d’avoir la plus belle exposition. Ils m’ont tous très bien accueillis.

J’étais dans les startings blocks, pendant que j’attendais l’ouverture des parcs d’exposition, mon esprit bouillonnait ! Au final, c’est un projet qui a eu le temps de mûrir !

Quel est l’objectif de cet évènement ?

Comme je le disais, je suis très conscient du manque d’information et de visibilité dont souffre le secteur du CBD.

Mon but premier est donc de faire connaître les bienfaits du CBD et d’offrir au grand public les moyens de comprendre et de s’informer correctement sur le sujet. C’est pour cela que j’invite des experts de l’addiction, des médecins, des chercheurs et même des juristes ! Je veux que les visiteurs puissent repartir du salon avec tous leurs doutes élucidés.

Et puis, je crois que les entrepreneurs du secteur méritent vraiment de l’aide. Ils doivent se battre contre les amalgames, les restrictions légales, la concurrence mondiale … J’ai envie qu’ils aient un lieu pour briller et où ils pourraient se sentir valorisés. C’est pour ça que je me suis démené pour obtenir les trois plus beaux halls de France !

J’ai aussi beaucoup investi en communication. Dans quelques mois, vous allez voir que l’on va parler du Salon du CBD sur tous les médias : à la radio, dans la presse, à la télé, etc.

Je veux que le Salon du CBD devienne un incontournable, qu’il soit prestigieux, de renommée internationale. Et je sais que ce sera le cas ! Je m’attends à pas moins de 15 000 visiteurs sur Marseille, 10 000 sur Lyon, où l’on touchera également la Suisse, et plus de 25 000 à Paris, où l’on attend un public international.

Comment imaginez-vous l’univers de ce salon du CBD ? Pouvez-vous nous livrer quelques détails ?

Je vise toujours l’excellence et le prestige lorsque j’organise des salons. La décoration sera soignée, originale. Les stands seront beaux, grands (jusqu’à 96 m² pour certains !), avec des cadeaux à gagner, des bons plans, des tarifs salon …

J’ai envie que les visiteurs soient plongés dans cet univers, qu’ils échangent avec un maximum d’enseignes. Et d’ailleurs, les plus grands noms ont déjà réservé leur stand ! Il y aura aussi une ambiance cosmopolite : certains exposants viennent du Portugal, du Royaume-Uni, d’Espagne et même des États-Unis !

Les exposants auront l’occasion de développer leur business, aussi bien auprès du consommateur final que des autres acteurs du secteur. C’est un salon qui se veut à la fois BtoB et BtoC. Il y aura donc des échanges, des rencontres, des partenariats naissants … Une vraie fourmilière !

Et puis comme je l’ai dit, j’ai envie que les visiteurs puissent repartir avec des réponses. Il y aura donc des conférences, des animations et des débats.

Salon du CBD 2022 : les dates à booker dans vos agendas !

On ne sait pas vous, mais nous, on en a l’eau à la bouche ! On a tellement hâte d’être l’année prochaine, et plus précisément :

L’entrée sera payante, car Marc Assous a souhaité que seuls les visiteurs réellement intéressés par les produits y ait accès. Néanmoins, elle reste accessible à tous.

La billetterie sera ouverte dès le mois de décembre, le tarif : 10 euros en se préenregistrant sur notre site internet et 15 euros à l’accueil de chaque salon.

www.lesalonducbd.fr ou bien www.cbd-show.com

Pour ceux d’entre vous qui souhaiteraient participer à l’évènement en tant qu’exposant, sachez que les tarifs ont été pensés pour que tout le monde puisse faire partie de l’évènement, surtout les petits commerces.

N’hésitez pas à passer un coup de téléphone à Marc Assous (00 33 7 67 06 08 34) ou bien à lui envoyer un mail (marc@expodience.com), vous savez maintenant que c’est un gars sympa, avec beaucoup d’humilité et de cœur !

Allez, on espère vous croiser sur le Salon du CBD !

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